postcolonie, la résistance et la subjectivité : Mort d’Oluwémi d’Ajumako et Dieu nous l’a donné de Maryse Condé

Si dans Mort d’Oluwémi d’Ajumako, Oluwémi dirige son peuple d’une main d’airain et refuse de jouer au jeu l’administration politique en place, Dieudonné désire Dieu nous l’a donné découdre avec le système colonial ses conséquences mais n’arrive pas à joindre idées révolutionnaires. Ces deux pièces théâtre Maryse Condé permettent toucher non uniquement modes résistance gestion du fait historique surtout une hétérogène sein des sujets colonisés. Cet article examine les stratégies épistémologiques socio-discursives employées par colonisés pour construire leurs identités individuelle collective ainsi que la possibilité dépasser, s’appuyant sur réflexion théorique Hamid Dabashi, tendances restreindre l’identité postcoloniale polarité colonisateur colonisé.